Rully blanc, Jaffelin, 2016, France

Cépage :   100% Chardonnay
Code #:    13907111

Prix:          32,75$

Alcool:     13%
Sucre:      non mentionné*

Servir:     11-12° Celsius
Carafe:    10-15 min. (facultatif)
À boire:   2019-2023

*autour de 2,5 g/l selon mon palais

Provenance: échantillon reçu

C'est en 1816 que les frères Jaffelin créent leur maison de négoce en vin. 

Contrôlé par la société Drouhin depuis 1969, la maison Jaffelin est rachetée en 1992 par le groupe Boisset qui fait entièrement rénover la cuverie en 2004 avec des cuves inox et des cuves ovales en bois.

L’œnologue-vinificatrice Marinette Garnier a alors en main tous les outils pour élaborer les vins du domaine.

On y élabore pas moins de 32 cuvées réparties en 4 gammes. Les vins tranquilles occupent les 3 premières gammes, soit 13 vins blancs et 17 vins rouges. La 4è gamme est pour les crémants  et elle est constituée d'un vin blanc et d'un rosé mousseux.

Le vin mentionné en rubrique fait partie de la gamme nommée Villages. Il est d'appellation Rully qui se trouve sur la côte chalonnaise, au sud de la Bourgogne. On y produit à 64% du vin vin blanc avec le Chardonnay, ainsi que 36% de vins rouges à l'aide du Pinot Noir.

Source: www.vins-bourgogne.fr

Les raisins qui proviennent de différents climats de l'appellation sont cueillis à la main et pressés dès leur arrivée au chai. Ils fermentent en cuve inox puis sont élevés durant 18 mois en utilisant un tiers de fûts de chêne français neufs de chauffe moyenne, et le reste en fûts de 2 à 4 vins.

En rouge comme en blanc, il est très difficile de nos jours de trouver d'authentiques vins de Bourgogne en bas de 30$. Il vient tout juste de débuter sa distribution en succursales.

Inventaire: au 15 mars 2019, dans 24 succursales du Québec.

Filet de saumon au miel et à la moutarde, asperges

Voir la recette

Notes de dégustation:

Un vin blanc de Bourgogne qui va droit au but!

Il propose à l’œil du dégustateur une teinte jaune doré très claire dotée de quelques reflets verts; les principaux parfums qui en émanent sont ceux de fleurs blanches, d'agrumes, de pêche, de citron, avec une touche de vanille; la bouche est précise, plutôt longiligne que large, et bénéficie d'une très bonne persistance des saveurs; il dévoile une belle matière bien structurée qui s'exprime avec une belle fraîcheur; pour les fruits de mer, les crustacés, les poissons grillés, ainsi que les viandes blanches accompagnées de sauce légèrement crémée.

Quels vins boire pour survivre jusqu'à la fin de l'hiver?

NOTE: Ce texte a également été publié le 14 mars 2019 dans le HuffPost Québec (voir ici).

Parce qu'au Québec, le printemps ce n'est pas pour demain!

Bien sûr, nous n'aurons maintenant plus beaucoup de journées avec des températures de moins 20 Celsius. Mais certainement aucune de plus 20 degrés non plus et ce, avant un bon bout de temps.

Même si l'équinoxe du printemps surviendra cette année, le 20 mars à 17h58, si vous habitez ici depuis au moins quelques temps, vous devriez savoir que c'est plutôt vers le début du mois de mai qu'il commence à faire vraiment plus chaud au Québec.

Je sais bien que certains et certaines de mes collègues ont déjà commencé à recommander des vins pour célébrer le printemps ou pour le faire venir, mais pour ma part, je n'ai jamais cru en la pensée magique.

Et comme je déteste décevoir mes lecteurs et mes lectrices, ne comptez pas sur moi pour vous recommander en ce début mars, de petits vins légers et fruités à boire bien frais, sous prétexte que le printemps est techniquement arrivé.

Essayer donc d'aller boire en manches courtes un petit verre de Sancerre sur votre galerie. Vous m'en donnerez des nouvelles!

Pensant à la survie de votre moral, je vous propose plutôt 6 vins rouges qui sauront accompagner les plats réconfortants et les viandes mijotées qui ne manqueront pas de composer votre menu pour encore quelques semaines.

Vous retrouverez ces vins dans la galerie-photos qui suit ce billet. Cabernet Sauvignon, Mourvèdre, Grenache, Syrah sont bien sûr à l'honneur, ainsi que quelques autres.

Sous chacun des montages photos vous trouverez un lien vous menant à tous les détails à leur sujet, ainsi qu'un autre vous permettant de vérifier la disponibilité dans les succursales de la SAQ.

À la fin de la galerie, vous pourrez télécharger la liste de ces vins.

En attendant que la chaleur se manifeste, vous pourrez toujours profiter du soleil contenu dans ces bouteilles.

VOIR LA GALERIE-PHOTOS


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3 vins du Domaine de Longue Toque (Gabriel Meffre)

Les 35 personnes présentes le 11 mars dernier au Club des Dégustateurs de Grands Vins ont eu la chance de pouvoir goûter à 3 vins (1 blanc et 2 millésimes d'un vin rouge) du domaine de Longue Toque, l'une des propriétés du groupe Gabriel Meffre.

Pour l'occasion, l'ambassadeur pour le Canada de ce producteur, Guillaume Blisson, est venu nous visiter pour nous transmettre des informations à propos de la maison Gabriel Meffre, ainsi que sur les vins dégustés.

Guillaume a déjà travaillé durant plusieurs années pour ce producteur en tant qu’œnologue, viticulteur et vinificateur.

Cette maison fut fondée à Gigondas il y a plus de 80 ans, soit en 1936, lorsque Gabriel et son épouse, passionnés de vin, créent leur affaire de “Négociant-Vinificateur”.

Au fil des années, la Maison a su innover, se développer et couvre aujourd’hui l’ensemble des activités de la filière vinicole.

Elle est propriétaire du Domaine de Longue Toque à Gigondas - 32 ha en AOP Gigondas, Vacqueyras, Côtes du Rhône Villages Plan de Dieu & Côtes du Rhône - et exploitant du Château Grand Escalion en Costières de Nîmes - 44 ha en AOP Costières de Nîmes et Vins de Cépages, conduits selon les principes de la viticulture raisonnée - charte Terra Vitis®* depuis 2001. En 2017, le Domaine de Longue Toque a engagé sa conversion à l’agriculture biologique.

De nos jours la maison ne produit pas moins de 44 cuvées différentes, réparties en 6 gammes distinctes et dans les 3 couleurs. De ce nombre, le monopole québécois en a référencé 12 (voir ici).

Voici quelques chiffres: 16 millions de bouteilles commercialisées, 75% des volumes réalisés à l’export, 130 salariés, 72 hectares en propriété, 1,700 hectares de vignes suivies en vallée du Rhône, Languedoc et Provence.

Maintenant, quelques détails et commentaires au sujet des 3 vins analysés lors de cette soirée.

Côtes-du-Rhône blanc, Domaine de Longue Toque, 2017, France, n.d.

Un assemblage de 62% Marsanne, 25% Roussanne et de 13% de Grenache blanc, issus de vignes poussant à près de 500 mètres d'altitude avec un refaible rendement de 31 hectolitres par hectare. Élevage durant 7 mois (65% en cuve et 35% en demi-muid (600 litres). Seulement 3,080 bouteilles produites.

Il s'agit en fait d'un Gigondas blanc, une appellation qui n'existe pas, du moins pas pour le moment. Plusieurs producteurs de la région on fait une demande en ce sens à l'INAO.

Il sera disponible en importation privée autour de 40$ au courant de l'année 2019 via l'agence Elixirs vins et spiritueux.

Quelle surprise avec ce Côtes du-Rhône blanc hors-normes!  Son assemblage et sa grande qualité fait penser aux meilleurs vins blancs de l'appellation Châteauneuf-du-Pape pourtant généralement vendus passablement plus chers; robe jaune doré très clair; parfums de fleurs blanches, de miel, de pêche et d'abricot, avec une pointe de cire d'abeille; il s'avère d'une belle onctuosité en bouche, mais déborde de fraîcheur lors de sa longue finale sur le noyau de fruits blancs; un vin gastronomique qui pourra se conserver au moins 4 à 5 années en cave.

Gigondas, Domaine de Longue Toque, 2014, France, 43,00$.

Un assemblage de 40% de Grenache provenant du secteur de Montmirail (150 m. d'altitude) et de 60% de Syrah issu du secteur de Pourra, au cœur des Dentelles de Montmirail (400 m. d'altitude). Macération et fermentation d'une durée de 15 à 25 jours. Conversion malolactique. Élevage de 18 mois en cuve inox pour le Grenache et en barriques de chêne français pour la Syrah. Production de 11,000 bouteilles.

Ce vin a été le coup de cœur de la soirée pour beaucoup de participants; il affiche une couleur rubis très foncé avec des reflets à la fois violets et grenats; à l'olfactif on y perçoit des arômes profonds et bien présents de violette, de réglisse, de poivre blanc, de fines herbes avec une petite touche animale; la bouche est fraîche et savoureuse grâce à sa belle matière coulante et généreuse; un modèle d'équilibre; très longue finale!

Disponibilité SAQ

Gigondas, Domaine de Longue Toque, 2010, France, n.d.

Même détails techniques que pour le vin précédant, sauf pour l'assemblage qui est de 50% Grenache et de 50% de Syrah. Production: 13,000 bouteilles.

Il est toujours intéressant de comparer un même vin sur deux millésimes. On comprend mieux ainsi l'effet du temps sur ce vin, ainsi que les caractéristiques des millésimes.

La robe montre ici de l'évolution avec une teinte rubis foncé avec des reflets à la fois violets et grenats; joli nez débordant de réglisse et de fines herbes avec une pointe de cuir; les saveurs ici sont parfaitement fondues entre elles; souplesse, fraîcheur et longueur en bouche sont au rendez-vous; plus qu'équilibré, ce vin se dirige vers une parfaite harmonie démontrant que le Gigondas de cette maison mérite d'être attendu environ 8 ans pour profiter de tout son potentiel.

Au cours de la présente année, le millésime 2016 arrivera au Québec. Restez à l'écoute pour  tous les détails à son sujet.

Viognier, McManis Family Vineyards, Californie, River Junction, 2017, É.U.

Cépage :   100% Viognier
Code #:    13917862

Prix:          18,80$

Alcool:     13,5%
Sucre:      5 gr/litre

Servir:     10-12° Celsius
À boire:   2019-2020

Provenance: échantillon reçu

Ron et Jamie McManis, 4è génération d'une famille d'agriculteurs qui cultive du raisin depuis 1938, ont fondé leur entreprise vinicole en 1990 dans la région du Northern Interior en Californie.

Leur fils Justin et leur fille Tanya ont rejoint l'entreprise avec leurs conjoints. Cette 5è génération prépare ainsi la relève.

La maison élabore 8 vins rouges, utilisant les cépages Cabernet Sauvignon, Merlot, Pinot Noir, Petite Sirah, Syrah, Zinfandel et Barbera. Les 3 vins blancs pour leur part  sont élaborés avec le Chardonnay, Pinot Gris et le Viognier alors que le rosé utilise le Pinot Noir.

Ils sont en mesure de produire leurs vins avec d'importants volume, le domaine comptant plus de 1,400 hectares de vignes. On achète aussi des raisins de partenaires locaux afin de répondre à la demande.

Le répertoire de la maison comprend 12 cuvées de vins tranquilles dans les 3 couleurs (voir ci-dessus).

Le vin de Viognier mentionné en rubrique fait partie de la présente opération Pépinière de la SAQ. Si vous ne connaissez pas ce programme, je vous recommande de lire ceci.

Les raisins pour élaborer le vin de Viognier mentionné en rubrique proviennent à 100% d'un vignoble de ce producteur situé dans l'AVA (American Viticulture Area) de River Junction, au confluent des rivières San Joaquin et Stanislaus. La fermentation s'est déroulé en cuve inox à température contrôlée. Aucun élevage sous bois.

Inventaire: au 14 mars 2019, dans 44 succursales du Québec.

Salade de gros pétoncles (St-Jacques), sauce tiède à l'orange

Notes de dégustation:

Un vin blanc californien suave et bien proportionné.

Il offre à l’œil une jolie et brillante couleur jaune doré très claire; on peut y déceler de gourmands arômes d'abricot, de pêche, d'ananas, ainsi que touche de miel; léger et frais, il coule aisément et agréablement  en bouche, développant un certain volume; il offre une bonne longueur ainsi qu'une belle finale; pas complexe, ni compliqué, mais drôlement efficace à table; les accords à privilégier, sont les pétoncles, le homard, le saumon, ainsi que les fromages doux.

Liste des vins pour cette semaine

Je vous propose cette semaine 6 vins rouges pour vous permettre de survivre jusqu'à la fin de l'hiver. La fourchette de prix de ces vins varie de 11,45$ et 22,80$. Ils proviennent de France, d'Espagne, du Chili, du Liban et ... du Mexique!


Télécharger la liste


Vins rouges

Petite Sirah, L.A. Cetto, Baja California, 2016, Mexique, 11,45$

El Bonhomme, Les vins Bonhomme, Valencia, 2017, Espagne, 18,75$

Marselan, Domaine de L'Attilon, Méditerranée, 2016, France, 18,80$

Château de la Grave, Caractère, Côtes de Bourg, 2015, France, 22,70$

Cabernet Sauvignon, Intriga, Vina Montgras, 2016, Chili, 22,75$

Terrasses de Baalbeck, Massaya, Vallée de la Béqaa, 2014, Liban, 22,80$



Bonnes dégustations!

Utilisation prédominante des critiques étrangers par la SAQ: Qu'en pensent les Québécois(es)?

Le 28 février dernier, je publiais sur ce blogue ainsi que dans ma chronique hebdomadaire du HuffPost Québec, un billet intitulé Le vin au Québec: une question de langue et de culture.

On y mentionne que la Société des alcools du Québec donnait généralement préséance aux commentaires de dégustation (et aux notes sur 100 points) des critiques étrangers, alors que ceux-ci ont souvent des goûts qui peuvent s'avérer différents des spécificités de notre palais québécois, tel que démontré par une récente étude de l'université de Concordia.

De plus, les promotions que la SAQ fait parfois sur les réseaux sociaux n'utilisent que les commentaires en anglais de ces critiques, ne permettant pas aux personnes qui ne comprennent pas l'anglais de les lire.

En résumé, on n'utilise guère les analyses de nos experts d'ici qui connaissent mieux les préférences de la clientèle québécoise et qui sont de plus en mesure de livrer leurs commentaires en français.

Afin d'évaluer si je n'étais le seul à juger cette pratique quelque peu incongrue, j'ai fait un sondage sur les réseaux sociaux durant une semaine, afin de connaître l'opinion des consommateurs du Québec à ce propos.

Bien sûr cela n'a rien de scientifique, mais donne tout de même un certain aperçu de l'opinion populaire.

Voici le sondage et les résultats.

81% des personnes ayant répondu à ce sondage ne sont pas d'accord avec la pratique actuelle.

Mais creusons davantage. 

J'ai voulu connaître l'opinion de l'Office Québécois de la Langue Française (OQLF) au sujet de l'utilisation de commentaires unilingues anglophones par une société d'État, tel que montré ci-dessus.

Je leur ai parlé et leur ai fait  parvenir un courriel le 12 mars dernier, par l'entremise duquel je leur pose deux questions, à savoir:

1) La SAQ est-elle assujettie à titre de commerçant au détail, à la loi québécoise sur la publicité où il est stipulé que le français doit être dominant?

2) Si oui, en vertu de quelles dispositions de la loi, la pratique actuelle de la SAQ est-elle rendue possible?  

Dès que j'aurai reçue les réponses de l'OQLF je vous en ferai part.

Mise à jour du 19 mars 2019:

Une semaine après ma demande par courriel d'informations, mes deux questions demeurent toujours sans réponse.

À suivre...


Mise à jour du 20 mars 2019:

J'ai finalement reçu un courriel 8 jours plus tard de l'Office québécois de la langue française du Québec (OQLF), soit le 20 mars 2019, à 15h31.

Voici leur réponse:

·         Pour un organisme de l’Administration, une publicité doit être en français. Cependant, elle peut être à la fois en français et dans une autre langue, à condition que le français soit au moins équivalent.

·         La SAQ est considérée comme un organisme de l’Administration au sens de la Charte.

·         L’Office a communiqué avec la SAQ pour l’informer de la situation.

Mise à jour du 6 avril 2019:

Il semblerait que le message ce soit rendu à bon port.

Voici ce que l'on peut dorénavant voir comme publicité de la SAQ sur les réseaux sociaux lorsque des commentaires de dégustation de chroniqueurs anglophones sont utilisés.

Paru le 28 mars 2019

Paru le 29 mars 2019

Paru le 5 avril 2019

Beaucoup mieux, n'est-ce pas?

J'aimerais remercier l'Office de la langue française (OQLF) pour son efficacité, ainsi que la Société des alcools du Québec (SAQ) pour sa rapide collaboration.

Le dossier est clos. Pour le moment.

Terrasses de Baalbek, Massaya, Vallée de la Békaa, 2018, Liban

Cépages:   40% Grenache, 30% Cinsault, 15% Cabernet Sauvignon, 15% Mourvèdre
#SAQ:        904102             

Prix:           22,80$

Alcool:      14,5%
Sucre:       1,8 gr/litre

Servir:      16-17° Celsius

Carafe:     20 min.
À boire:    2019-2022

Provenance: échantillon reçu

C'est en 1992 que Sami Goshn revient des États-Unis pour restaurer l'ancien domaine viticole familial, le domaine du Tanail, que ses parents avaient acheté au début des années 70.

Suite au déclenchement de la guerre civile au Liban en 1975, la famille avait dû fuir et quitté leur propriété.

Jusqu'en 1992, il n'y avait plus que trois établissements viticoles au Liban. Aujourd'hui, on en compte près d'une quarantaine.

Sami Goshn débuta à son retour par produire de l'arak, une boisson anisé très populaire au Moyen-Orient, le temps que le vignoble soit prêt pour la production de vin.

Afin de l'épauler, il réussit à attirer en 1998 deux partenaires français d'envergure, Dominique Hébrard (Cheval Blanc à St-Émilion), ainsi que la famille Brunier (Domaine du Vieux Télégraphe à Châteauneuf-du-Pape). 

Bien pensé puisque historiquement le Liban a opté pour les cépages français et s'est inspiré des techniques de ce pays, principalement celles de Bordeaux et de la vallée du Rhône. Par la suite, son frère Ramzi quitta la France pour venir s'occuper de la vinification et du marketing.

Au Québec, 4 des vins de la maison et 2 araks sont disponibles (voir ici).

Les raisins du vin rouge mentionné en titre ont été cueillis à la main et égrappés. Après le tri, ils sont vinifiés en cuves de bois pendant environ 25 jours à température contrôlée

Inventaire: au 13 mars 2019, dans 108 succursales du réseau.

Gigot d'agneau à la ficelle

Notes de dégustation:

Un vin parfait pour vous réchauffer un peu en cette fin d'hiver!

Ce vin affiche son âge avec sa couleur rubis parsemée de reflets violets et grenats; il émane du verre des parfums de fruits rouges et de prune entremêlés de notes de fines herbes; les tanins sont souples et développe une bouche souple et caressante; bonne persistance gustative et bel équilibre de ses composantes; pour les viandes (agneau, bœuf, canard, etc) savoureuses ainsi que les plats mijotés; à découvrir.