Tel est le titre d'un article paru dans une récente édition de la populaire Revue du Vin de France.
On y relate, au grand ébahissement des Français, l'abandon par la SAQ de sa pratique de détruire les bouteilles de vins d'importation privée qui selon ses critères passaient trop de temps dans ses entrepôts.
Le journaliste Yves Thétiot y résume avec force détails les conditions dans lesquelles se déroule le marché du vin au Québec, sous la férule étatique:
⏩ le marché noir qui se créait et était toléré avec le rachat par les agences des produits destinés à être détruits;
⏩ la peur de se retrouver sur la liste noire du monopole;
À lire! (pour une fois ce n'est pas moi qui le dit)
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