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samedi 24 juin 2017

Vin gris d'Amador, Terre Rouge, Sierra Foothills, Californie, 2015, États-Unis


Cépages:  48% Grenache, 35% Mourvèdre, 12% Grenache Blanc, 2,5% Roussanne, 2,5% Viognier
Code #:    11629710
Prix:         28,90$
Alcool:    13,5% 
Sucre:      3 gr/litre 
Servir:     10-12° Celsius




Si vous aimez les vins rosés avec de la substance, celui-ci ne pourra que vous plaire. Avec ses saveurs crémeuses de framboise et de cassis, il a presque le goût d'un vin rouge léger, de Pinot Noir pour être plus précis!

Ce n'est évidemment pas un rosé fait dans le plus pur style du classicisme mais on s'en fout puisque c'est bon.

Le Domaine de la Terre Rouge appartient à Bill Easton qui l'a fondé en 1983 et qui y planta à l'encontre de la mode de l'époque, des cépages rhodaniens, en raison de la similitude qu'il avait remarqué entre les deux régions au niveau des sols et du climat.

Ce vin rosé de saignée a subi un élevage en fûts de chêne français. C'est pourquoi nous avons présentement de disponible le millésime 2015 et non 2016 comme la plupart des autres vins rosés disponibles ici en ce moment.

Sa composition est légèrement différente de celle des millésimes précédents. Le Grenache et le Mourvèdre ont été saignés séparément des autres cépages.

Inventaire: au 23 juin 2017, dans 94 succursales du réseau.

(Vin de spécialité disponible pour un temps limité).


Brochettes de veau sur taboulé, sauces tzatziki et salsa verde


Notes de dégustation:

Ce vin fait sans équivoque partie de la catégorie des vins rosés gastronomiques; son élevage en fûts, sa texture crémeuse  ainsi que sa belle longueur, en font un compagnon idéal en mesure de se mesurer à une foule de plats; il arbore une robe saumon soutenu; des parfums de fraise, de framboise, de canneberge, de cannelle et d'épices très douces exhalent du verre; impossible de ne pas y succomber! Il peut au besoin se garder 2-3 ans en cave ce qui permet d'en faire provision.






vendredi 23 juin 2017

Château Rahoul, Vignobles Dourthe, Graves, 2012, France


Cépages:   65% Merlot, 35% Cabernet Sauvignon
Code #:     12391387
Prix:           29,85$
Alcool:      13,5%
Sucre:       inconnu mais sec
Servir:      16-17° Celsius
Carafe:     20-30 min



Il s’en est passé des choses depuis la fondation en 1840 par Pierre Dourthe de cette entreprise viticole qui porte aujourd’hui toujours son nom. Il y a eu bien sûr des hauts et des bas. Je me souviens qu’il y a une trentaine d’années, du moins au Québec, le nom Dourthe était plutôt synonyme de  volume et de vins d’entrée de gamme plutôt que de sélection et de vins de grande qualité.

Il est utile de souligner que le virage de ce producteur vers la qualité coïncide à peu près au moment où M. Patrick Jestin arrive à la barre de cette maison, soit il y a environ 25 ans (1987). Mû par un désir de dépassement, on n’a pas hésiter à faire appel pour améliorer les vins blancs de la maison à Denis Dubourdieu et Christophe Olivier. Le changement devient palpable dès le début des années 2000.

De nos jours, Dourthe exploite plus de 500 hectares de vignes à Bordeaux, incluant quelques belles propriétés acquises au cours des dernières décennies et sises entre autres en Haut-Médoc, à St-Estèphe, Pessac-Léognan et St-Émilion.

Château Rahoul

Car la renaissance de cette maison est passée par la sélection des meilleurs terroirs afin que ceux-ci, combinés au  travail de l’Homme, produisent les meilleurs raisins possibles. Car comme le dit si bien M. Jestin : « On peut peut peut être faire du vin partout avec la vigne, de la terre, du soleil et de l’eau. Mais pour faire de grands vins, il faut de grands terroirs.

J'aime bien les vins de Graves, tel que celui mentionné en titre, dont l'histoire remonte au 17è siècle avec le Chevalier Guillaume Rahoul. On dirait que les graviers sableux de cette région procurent un charme immédiat aux vins qui en sont issus. Cette propriété de 40 hectares  acquise par les Vignobles Dourthe en 2007 n'y fait pas exception, avec ses sols de sable, d'argile et de graves. Ce vin a été élevé durant 15 mois en barriques de chêne français sur lies fines, dont 22% de bois neuf. 

Disponibilité: au 23 juin 2017, dans 50 succursales du Québec.

(Vin de spécialité disponible en quantité limitée)



Filet de boeuf grillé, légumes, foie gras, rouleau parmesan


Notes de dégustation:

Un vin typiquement bordelais d'appellation Graves qui privilégie la finesse et l'élégance; robe encore jeune de teinte rubis très foncé; il fleure bon la framboise, le cassis, entremêlés de notes de sous-bois et d'épices douces; passablement déjà bien fondues, ses diverses flaveurs son en parfait équilibre; ce vin moyennement corsé, au fin boisé et à la finale plutôt longue, ne demandera qu'à accompagner des plats de boeuf, de canard ou d'agneau; on peut commencer à le boire maintenant, ou bien au cours des 7-8 prochaines années.



 

jeudi 22 juin 2017

Renaissance des vins blancs au Québec


NOTE: Ce texte a aussi été publié le 22 juin 2017 dans le HuffPost Québec (voir ici).

Alors qu'elle avait atteint un creux historique il y a 7 ans de cela, la consommation de vins blancs donne des signes encourageants de reprise au Québec.

Déclin

Selon des statistiques que j'ai obtenues de la Société des Alcools du Québec, les ventes de vins par couleur pour l'année financière 1995-1996 étaient de 48,1% pour les rouges, et de 50,2% pour les blancs, le reste étant pour les vins rosés. Et oui, il y a environ 20 ans, il se buvait davantage de blanc que de rouge dans la Belle Province!

Puis, s'amorce alors un constant déclin pour les vins blancs. En 2007, cette couleur ne représente plus que 22,6% des ventes du monopole (moins de la moitié consommée en 1996), alors que la part des rouges grimpe à 73,5%. En gros, pour chaque bouteille de vin blanc, il se vend 3 bouteilles de vin rouge.

Renaissance

Cette situation serait en train de se résorber. Ainsi, pour la période financière 2015-2016, la part de marché des vins rouges avait diminué à 65,8% alors que celle des vins blancs s'établissait à 29,6%.

Et si l'on en croit le rapport financier annuel qu'a publié la SAQ le 16 juin dernier, cette tendance se poursuit, tel que le tableau suivant le démontre:


On peut présumer que d'ici quelque temps, on pourrait avoir une situation beaucoup plus équilibrée, soit autour de 60% pour les vins rouges et de 35% pour les blancs (et 5% pour les rosés).

Les causes probables

Il importe de savoir que nous ne sommes pas le  seul endroit où l'on a observé une forte diminution de la consommation des vins blancs. Il y a eu de par le monde depuis le French paradox, une étude publiée à la fin des années 80 affirmant que la présence d'antioxydants dans le vin rouge était bénéfique pour la santé, un grand engouement pour les vins de cette couleur. 

En France, la popularité du vin rosé a même relégué le vin blanc en troisième position des ventes dans l'Hexagone.

À ces considérations internationales, on peut ajouter une cause plus locale, soit le prix élevé des vins d'entrée de gamme au Québec, surtout depuis les dix dernières années. Le consommateur québécois ayant un budget discrétionnaire limité, celui-ci dut probablement se contenter la plupart du temps de n'acheter qu'une seule bouteille de vin, qu'il consommait habituellement le samedi soir. 

La diète des Québécois, généralement orientée vers les viandes plutôt que vers le poisson et les fruits de mer, a sans doute aussi favorisé la consommation de vins rouges.

Le retour des vins blancs

Comme les chiffres mentionnés plus haut le démontrent bien, les vins blancs reprennent du poil de la bête, et c'est tant mieux.

La SAQ ayant semble-t-il réalisé qu'elle commençait à manquer cruellement de vins à prix très abordables, a recommencé il y a un an environ, non seulement à regarnir ce segment de son répertoire, mais aussi à remettre peu à peu la qualité à l'avant-plan, tel que je lui suggérais de le faire il y a exactement quatre ans.

La plupart des Québécois sont dorénavant en mesure d'acheter à chaque semaine un rouge et un blanc pour une vingtaine de dollars. Pourquoi choisir quand on peut avoir les deux?



Sans compter que nos habitudes alimentaires se diversifient peu à peu. On mange un peu moins de viandes rouges et davantage de poissons, de salades et de légumineuses, lesquels se marient généralement mieux avec les vins blancs.

Une erreur répandue

L'une des choses qui surprend le plus les participants qui assistent à mon cours d'initiation à la dégustation du vin, c'est lorsqu'elles réalisent que pendant de nombreuses années, elles servaient leurs vins blancs à une température trop froide.

La plupart des blancs sont à leur meilleur autour de 10-12° Celsius. Plus bas que cette fourchette, le froid les paralyse;  ils ne sentent presque rien et ne goûtent pas grand chose. Pas étonnant que dans ces conditions, on peine à les apprécier.

L'acquisition d'un seau à glace pourrait être une bonne idée. Si vous optez pour le frigo, n'oubliez pas que sa température intérieure est à 4° Celsius. Après quelques heures, c'est la température du contenu de votre bouteille de vin. Il est donc préférable de la sortir du frigo une quinzaine de minutes environ avant le début du service. 

N'oubliez pas que votre palais est le meilleur outil pour évaluer votre plaisir. Soyez-y attentif.

Meilleur avec de la nourriture

Si vous avez décidé de vous remettre peu à peu aux vins blancs, je vous recommanderais de les consommer à table. Tout comme les vins rouges se bonifient lorsqu'ils accompagnent des mets qui leur conviennent, il en va de même pour les vins blancs.

Non seulement cela fera ressortir les nuances et les subtilités de leurs saveurs, mais l'acidité qui leur donne leur fraîcheur vous paraîtra plus équilibrée et agréable en bouche.

Ma sélection

Le monde du vin est vaste et on n'a jamais fini de l'explorer. La dégustation organisée le 13 juin dernier par l'AQAVBS comprenait de nombreux vins blancs. Les plus intéressants selon moi font partie de ma sélection d'aujourd'hui ainsi que quelques autres.

Vous trouverez donc à la suite de ce billet une galerie-photos renfermant 10 bons vins blancs provenant de France, d'Espagne, du Portugal et du Québec, à des prix oscillants environ entre 11$ et 19$. 

Comme toujours, un lien situé à la fin de la galerie vous permettra de télécharger la liste pour référence ultérieure.

Pour un choix encore plus vaste, je vous signale qu'au dernier décompte, on retrouvait plus de 746 vins blancs sur ce blogue.

L'été est à nos portes. Vous ne trouverez pas meilleur moment pour profiter des saveurs rafraîchissantes proposées par les vins blancs, où chacune de vos gorgées sera une opportunité d'exploration et de découvertes.

Bonnes dégustations!





Accéder à la galerie-photos

Télécharger la liste des vins




Concours! 6 bouteilles de vin à gagner!


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Bravo! Cela vous rend éligible au tirage d'une caisse de 6 vins (voir ci-dessous) de près de 100$. Il suffit de répondre à la question ci-dessous avant que le chiffre 1,100,000 (oui, 1 million cent mille) n'apparaisse au compteur des visiteurs, situé dans la colonne de gauche de ce blogue.



Question: (la réponse se trouve ici dans cet article sur ce blogue)

Alors qu'elle avait au départ refusé de vendre la caisse Red Racer de 12 bières  de 12 microbrasseries canadiennes pourtant en vente depuis déjà 6 semaines partout ailleurs au Canada afin de souligner son 150è anniversaire, la SAQ fit volte-face. Combien de caisses a-t-elle finalement commandé pour tout le Québec?


Faites-moi parvenir votre réponse à l'adresse courriel suivante:


Le nom du gagnant (ou de la gagnante) sera tiré au sort parmi les personnes m'ayant transmis par courriel la bonne réponse dans le délai imparti (soit avant l'arrivée du 1,100,000è visiteur au compteur).

P.S. Livraison gratuite dans la région de Montréal. Au-delà, les frais de livraison sont à la charge du récipiendaire.


Bonne chance!


Ajout du 29 juin 2017:

La gagnante de ce prix est: Audrée Lapierre.

Félicitations!


 

mercredi 21 juin 2017

Mompertone, Prunotto, Monferrato Rosso, 2013, Italie


Cépages:  60% Barbera, 40% Syrah
Code #:    11669148
Prix:          18,55$
Alcool:      14%
Sucre:       2,2 g/litre
Servir:      16° Celsius
Carafe:     15-20 min.




Emanuele Baldi
C'est en 1922 qu'Alfredo Prunotto racheta l'ancienne coopérative locale de Serralunga à l'aide de sa jeune épouse Luigina.  En 1956, Alfredo Prunotto remis les rênes de l’entreprise à son ami et expert en vins, Beppe Colla, aidé de son frère, Tino Colla qui amenèrent la qualité des vins de la maison à un nouveau sommet.

En 1989, la célèbre famille Antinori débuta sa collaboration avec la maison Prunotto, tout d’abord en s’occupant de la distribution, puis en 1994, celle-ci racheta le domaine.

Cette maison fut la première du Piémont à élaborer en 1961 un cru, soit un vin produit avec les raisins d'un seul vignoble, en provenance de l'appellation Bussia.

Le 15 juin dernier, j'eus l'occasion avec plusieurs de mes collègues de rencontrer le directeur commercial de la maison Prunotto, M. Emanuele Baldi.

Nous avons alors eu droit à une dégustation mémorable de diverses cuvées de ce producteur, certaines dans plusieurs millésimes.





Trois de ces vins sont référencés au Québec (voir ici), dont le vin mentionné en rubrique le Mompertone.

Comme d'autres producteurs piémontais le font aussi, ce vin est un assemblage de Barbera et de Syrah, vinifiés séparément après une macération à 28° C en cuves inox, puis assemblés par la suite. Le vin est ensuite élevé pendant 10 mois en fûts de chêne de l'Allier âgés de 2 ans. 

Inventaire: au 21 juin 2017, dans 93 succursales du réseau.


Parpadelles à la côte de boeuf effilochée, sauce tomate


Notes de dégustation:

Voici un vin des plus original démontrant un beau fruité, issu de tanins très fins; il affiche une robe rubis violacée, ce qui n'est guère surprenant compte tenu des cépages qui le composent; au nez, on y décèle des effluves de cerise, de prune et d'épices douces; très polyvalent, ce vin avec la fraîcheur qu'il démontre, saura accompagner une foule de plats, de la viande blanche jusqu'à de la plus robuste; pas mal pour moins de 20$; j'ai aussi dégusté le millésime 2014 de ce vin qui devrait arriver au Québec en septembre prochain, et il est tout aussi recommandable.







mardi 20 juin 2017

Liste de vins suggérés de la semaine


Puisqu'il est plus facile de se référer à une liste, je vous en  livre une ci-dessous, que vous pourrez télécharger afin de la garder pour un usage ultérieur. Il s'agit des 10 vins que je vous recommande à la suite de mon billet du 22 juin  2017 dans le HuffPost Québec, intitulé:

Renaissance des vins blancs au Québec

Pour télécharger la liste ci-dessous


Vins blancs 

Planalto Reserva, Casa Ferreirinha, Sogrape, Douro, 2015, Portugal, 11,55$

Echo Indigo, Plaimont, Côtes de Gascogne, 2016, France, 12,05$

Colheita Seleccionada, Peninsula de Setúbal, Adega Santo Isidro de Pegões, 2016, Portugal, 12,60$

Paranga, Roditis/Malagousia, Kir-Yianni, 2016, Grèce, 13,30$

Chardonnay/Viognier, Sans-Façon, Castel Frères, Pays d'Oc, 2016, France, 13,45$

Tursansushi, Vignerons Landais, 2016, France, 14,60$

Classique Blanc, Domaine St-Jacques,  2016, Québec, 14,95$

Basa, Rueda, Telmo Rodriguez, 2016, Espagne, 16,20$

Attitude, Pascal Jolivet, Val de Loire, 2016, France, 16,45$

Pierres Sauvages, Vignoble du Rêveur, Alsace, 2013, France, 19,40$


Bonnes dégustations!




Echo Indigo, Caves de Plaimont, Côtes de Gascogne, Sud-Ouest, 2016, France


Cépages:  60% Colombard, 40% Sauvignon Blanc
Code #:    13189834
Prix:          12,05$
Alcool:      11,5%
Sucre:       6 g/litre
Servir:      9-10° Celsius




Sur la contre-étiquette, il est écrit que la ville de Toulouse était la capitale du pastel, une plante d'où provenait le bleu indigo, une couleur très recherchée à la fin du moyen-âge. Ce sont les coques de pastel séché qui valurent à la Gascogne son surnom de "Pays de Cocagne".

Ce vin est élaboré par une coopérative très dynamique qui s'est vue décernée en 2016 par la Revue du Vin de France, le titre de "Cave de l'année".

Celle-ci fut fondée en 1979 par des vignerons de la région française du Sud-Ouest désireux de mettre davantage en valeur les appellations alors méconnues de leur région. Elle a été constituée par la réunion de trois caves existantes, soit Plaisance, Aignan et St-Mont. Le nom de cette nouvelle cave est composé des initiales de celles-ci.

Au fil du temps, l'Union des Producteurs de Plaimont a acquis plusieurs domaines et châteaux réputés de la région. La vidéo qui suit vous en montre quelques uns, vus du ciel.


 
De nos jours, ce sont plus de 1,000 producteurs qui en font partie et qui cultivent 5,300 hectares de vignes, à partir desquelles ont produit 40 millions de bouteilles annuellement, dont 55% prennent le chemin de l'exportation. Ces vins sont vinifiés dans le 8 différents chais de la coopérative répartis sur le territoire du Sud-Ouest.

Une quarantaine de cuvées constituent le répertoire de la cave, Elles se subdivisent en 2 gammes réparties en 4 appellations et dans les trois couleurs. Seulement 4 de leurs vins sont disponibles au Québec. (voir ici)

Pour produire un de bonne qualité à prix très abordable comme le vin mentionné en titre, un nouveau venu au répertoire régulier de la SAQ, il faut en effet être un producteur sérieux avec de très grands volumes, afin de réaliser des économies d'échelles. Seulement le Colombard a macéré sur peaux une dizaine d'heures. Le vin a été élevé en cuve inox à basse température.

Inventaire: au 22 juin 2017, dans 142 succursales du Québec.


Crabe des neiges, avocats, pamplemousse rose


Notes de dégustation:

Un vin à la robe brillante jaune claire livrant des parfums floraux et fruités (citron, pamplemousse, ananas); il exprime une belle vivacité, procurant légèreté et fraîcheur en bouche; bel équilibre entre les saveurs d'agrumes mûrs et l'acidité (on comprend alors pourquoi on a laissé 6 grammes de sucre résiduel par litre); sa persistance en finale n'est pas non plus à dédaigner; à son meilleur avec de la nourriture; on pourra ainsi l'accompagner de crabe, des crevettes, de divers types de  salades, ainsi que plusieurs plats où le citron est présent; très bon rapport qualité/prix.