Des discussions qu’il a eues, lundi matin, avec des représentantes de la Société des alcools du Québec (SAQ), le maire Antoine Tardif en ressort, dit-il, avec l’espoir que la société d’État revienne sur sa décision de déménager sa succursale du centre-ville de Victoriaville.
Plusieurs médias (dont moi-même), ont fait connaître au public cette rocambolesque histoire d'une société d'état québécoise qui refuse de suivre les grandes lignes directrices de développement urbain du gouvernement du Québec, prétendant que sa seule responsabilité est de faire le plus d'argent possible.
Y aurait-il de la lumière au bout de ce tunnel?
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