Cépages: 55% Cabernet Sauvignon, 45% Merlot
Code #: 113381
Prix: 23,95$
Alcool: 13,5%
Sucre: 1,4 gr/litre
Servir: 17° Celsius
Carafe: 20-30 min.
À boire: 2019-2026
Provenance: échantillon reçu
Lurton est le nom d'une grande famille bordelaise.
Grande non seulement par son prestige, mais aussi par le nombre de ses membres!
J'ai moi-même parfois quelques problèmes à démêler cet écheveau de frères, sœurs, cousins et cousines. C'est pourquoi vous trouverez ci-dessous l'arbre généalogique de la famille Lurton auquel je me réfère parfois.
André Lurton, l'un des quatre enfants de Denise Recapet et François Lurton et qui hérita en 1953 du Château Bonnet, le domaine familial, fut probablement celui qui développa le plus son patrimoine. Ses fils François et Jacques Lurton ont d'ailleurs suivi ses traces.
En mai 2019 survint le décès d'André Lurton, à l'âge vénérable de 93 ans. Ce fut Jacques qui fut désigné pour gérer les Vignobles André Lurton.
Celui-ci était d'ailleurs de passage à Montréal le 24 octobre dernier, où j'ai eu le loisir de le rencontrer au restaurant La Colombe.
Nous avons ainsi pu renouer avec certaines cuvées de ce producteur, dont le Château de Cruzeau, dans sa version en rouge (il en existe une blanche également).
C'est au 17e siècle que Jacques Cruzeau, un important avocat bordelais jeta les bases de ce domaine viticole. Le château que l'on peut admirer de nos jours fut pour sa part construit en 1912 alors que le vignoble du domaine avait presque disparu, ravagé par le phylloxéra.
En 1973, André Lurton découvre ces lieux. Il évalue favorablement le potentiel de ce terroir où les graves abondent et l'achète.
Dès 1975, il débute les rénovations et replantations indispensables à la relance de cette propriété.
De nos jours, ce sont plus de 100 hectares de vignes bien exposées qui y sont présentes, à partir desquelles on élabore des vins fins et élégants de Pessac-Léognan, en blanc et rouge.
Le vin rouge mentionné en titre qui est présent à la SAQ depuis des décennies, un produit régulier, fait preuve, année après année, d'une remarquable fiabilité.
Les raisins ont fermenté en cuves inox thermo-régulées, avec un système breveté d'émiettage du chapeau de marc. Après sa conversion malolactique, le vin est élevé 12 mois en barriques de chêne français, dont 30 à 40% sont neuves.
Note: ce vin fait partie de ma sélection 2019 des vins suggérés pour le repas de Noël (voir ici).
Inventaire: au 14 décembre 2019, dans 109 succursales du Québec.
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Notes de dégustation:
Offert exactement au même prix qu'il y a 5 ans, ce vin propose une constance de prix et de qualité.
Se drapant d'une belle et brillante robe rubis subtilement violacée, ce vin répand de frais arômes de framboise de myrtille, de champignons et de noyau de cerise; il propose une bouche bordelaise classique, droite, fraîche et des plus équilibrée; typique de son appellation de Pessac-Léognan, il livre même en jeunesse des tanins denses mais bien souples, lesquels créent une structure d'une évidente finesse; bienvenue petite amertume en finale pour une additionnelle complexité; bon maintenant, mais sera encore meilleur plus tard.
Sa polyvalence lui permet de s'acoquiner avec les volailles rôties et autres viandes blanches, l'agneau, le bœuf et le gibier.
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André Lurton, l'un des quatre enfants de Denise Recapet et François Lurton et qui hérita en 1953 du Château Bonnet, le domaine familial, fut probablement celui qui développa le plus son patrimoine. Ses fils François et Jacques Lurton ont d'ailleurs suivi ses traces.En mai 2019 survint le décès d'André Lurton, à l'âge vénérable de 93 ans. Ce fut Jacques qui fut désigné pour gérer les Vignobles André Lurton.
Celui-ci était d'ailleurs de passage à Montréal le 24 octobre dernier, où j'ai eu le loisir de le rencontrer au restaurant La Colombe.
Nous avons ainsi pu renouer avec certaines cuvées de ce producteur, dont le Château de Cruzeau, dans sa version en rouge (il en existe une blanche également).
C'est au 17e siècle que Jacques Cruzeau, un important avocat bordelais jeta les bases de ce domaine viticole. Le château que l'on peut admirer de nos jours fut pour sa part construit en 1912 alors que le vignoble du domaine avait presque disparu, ravagé par le phylloxéra.
En 1973, André Lurton découvre ces lieux. Il évalue favorablement le potentiel de ce terroir où les graves abondent et l'achète.
Dès 1975, il débute les rénovations et replantations indispensables à la relance de cette propriété.
De nos jours, ce sont plus de 100 hectares de vignes bien exposées qui y sont présentes, à partir desquelles on élabore des vins fins et élégants de Pessac-Léognan, en blanc et rouge.
Le vin rouge mentionné en titre qui est présent à la SAQ depuis des décennies, un produit régulier, fait preuve, année après année, d'une remarquable fiabilité.
Les raisins ont fermenté en cuves inox thermo-régulées, avec un système breveté d'émiettage du chapeau de marc. Après sa conversion malolactique, le vin est élevé 12 mois en barriques de chêne français, dont 30 à 40% sont neuves.
Note: ce vin fait partie de ma sélection 2019 des vins suggérés pour le repas de Noël (voir ici).
Inventaire: au 14 décembre 2019, dans 109 succursales du Québec.
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| Tourte de pintade au foie gras |
Notes de dégustation:Offert exactement au même prix qu'il y a 5 ans, ce vin propose une constance de prix et de qualité.
Se drapant d'une belle et brillante robe rubis subtilement violacée, ce vin répand de frais arômes de framboise de myrtille, de champignons et de noyau de cerise; il propose une bouche bordelaise classique, droite, fraîche et des plus équilibrée; typique de son appellation de Pessac-Léognan, il livre même en jeunesse des tanins denses mais bien souples, lesquels créent une structure d'une évidente finesse; bienvenue petite amertume en finale pour une additionnelle complexité; bon maintenant, mais sera encore meilleur plus tard.
Sa polyvalence lui permet de s'acoquiner avec les volailles rôties et autres viandes blanches, l'agneau, le bœuf et le gibier.
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