Cépage: 100% Chenin blanc
Code #: 12135092
Prix: 18,05$
Alcool: 14%
Sucre: 3,7 g/litre
Servir: 10° Celsius
Ce domaine sud-africain, cultivé en bio par un vigneron expérimenté, est intéressant sur plus d'un point. Afin de gagner un peu d'espace, vous retrouvez toute l'histoire ici.
Plusieurs chroniqueurs ont vanté les mérites de vin blanc et avec raison, puisqu'il est très bon, et j'abonde dans leur sens.
Mais il aurait pu selon moi, être encore meilleur. Tout semble en effet parfait dans ce vin, mais personnellement il y a un petit détail qui a quelque peu gêné mon plaisir, le taux de sucre résiduel de 3,7 grammes par litre. Celui-ci est en deçà de 4 grammes me direz-vous, mais la faible acidité du vin ne semble pas assez élevé pour en atténuer l'impression de sucrosité.
J'apprécie grandement la manière de conduire la vigne et de de vinifier de ce domaine (culture bio, levures indigènes, pas d'acidification artificielle, pas de manipulation inutile, etc.). Il ne reste plus qu'Adi Badenhorst de trouver une ou des méthodes qui lui permettraient d'obtenir un vin avec un peu plus de fraîcheur pour atteindre la perfection.
Je sais que le climat sud-africain rend difficile l'atteinte de cet objectif mais " à vaincre sans péril, on triomphe sans gloire".
On peut penser à l'ajout d'une petite quantité de raisins moins mûrs, donc plus acides, à l'assemblage, à faire des vendanges un peu plus hâtives, ou à laisser les levures transformer un peu plus longtemps le sucre résiduel en alcool.
Je serais curieux de goûter ce vin mais avec 2 ou 2.5 grammes de sucre résiduel. Même à cette teneur, le taux d'alcool n'augmenterait presque pas. Le vin serait ainsi fort probablement plus frais, équilibré et complexe. Mais je le répète, il est déjà très bon.
Notes de dégustation:
La robe de ce vin est jaune doré clair et à l'olfactif on perçoit des effluves de citron-vert, d'ananas mûr et de pêche; la bouche est soutenue et souple, légèrement grasse en son milieu et assez longue; impression de calcaire fin en arrière-plan des saveurs mûres et fruitées; on est près de la perfection, il ne manque qu'un peu plus de fraîcheur; à consommer sur des volailles en sauce blanche et crémeuse, des crustacés et des fruits de mer (langoustines, homard, pétoncles), et des fromages à pâte demi-ferme et à croûte naturelle comme les Tommes.
Ce domaine sud-africain, cultivé en bio par un vigneron expérimenté, est intéressant sur plus d'un point. Afin de gagner un peu d'espace, vous retrouvez toute l'histoire ici.
Plusieurs chroniqueurs ont vanté les mérites de vin blanc et avec raison, puisqu'il est très bon, et j'abonde dans leur sens.
Mais il aurait pu selon moi, être encore meilleur. Tout semble en effet parfait dans ce vin, mais personnellement il y a un petit détail qui a quelque peu gêné mon plaisir, le taux de sucre résiduel de 3,7 grammes par litre. Celui-ci est en deçà de 4 grammes me direz-vous, mais la faible acidité du vin ne semble pas assez élevé pour en atténuer l'impression de sucrosité.
J'apprécie grandement la manière de conduire la vigne et de de vinifier de ce domaine (culture bio, levures indigènes, pas d'acidification artificielle, pas de manipulation inutile, etc.). Il ne reste plus qu'Adi Badenhorst de trouver une ou des méthodes qui lui permettraient d'obtenir un vin avec un peu plus de fraîcheur pour atteindre la perfection.
Je sais que le climat sud-africain rend difficile l'atteinte de cet objectif mais " à vaincre sans péril, on triomphe sans gloire".
On peut penser à l'ajout d'une petite quantité de raisins moins mûrs, donc plus acides, à l'assemblage, à faire des vendanges un peu plus hâtives, ou à laisser les levures transformer un peu plus longtemps le sucre résiduel en alcool.
Je serais curieux de goûter ce vin mais avec 2 ou 2.5 grammes de sucre résiduel. Même à cette teneur, le taux d'alcool n'augmenterait presque pas. Le vin serait ainsi fort probablement plus frais, équilibré et complexe. Mais je le répète, il est déjà très bon.
Paella aux fruits de mer et queues de homard |
Notes de dégustation:
La robe de ce vin est jaune doré clair et à l'olfactif on perçoit des effluves de citron-vert, d'ananas mûr et de pêche; la bouche est soutenue et souple, légèrement grasse en son milieu et assez longue; impression de calcaire fin en arrière-plan des saveurs mûres et fruitées; on est près de la perfection, il ne manque qu'un peu plus de fraîcheur; à consommer sur des volailles en sauce blanche et crémeuse, des crustacés et des fruits de mer (langoustines, homard, pétoncles), et des fromages à pâte demi-ferme et à croûte naturelle comme les Tommes.
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