Dans un article signé Marie-Ève Fournier publié le 2 août 2018 dans La Presse +, on apprenait, documents à l'appui, que les baisses de prix amorcées à l'automne 2016 ($1,40 la bouteille de moins sur plus des 1,600 vins les plus populaires) avaient été demandées par le Ministre des Finances du Québec.
Or, la direction de la SAQ, affirmait à l'époque, par l'entremise d'un communiqué, qu'elle en était l'instigatrice.
On avait écouté et compris les clients. Mieux, que ces baisses de prix étaient maintenant rendus possibles, suite à une gestion plus serrée des charges d'exploitation.
On avait écouté et compris les clients. Mieux, que ces baisses de prix étaient maintenant rendus possibles, suite à une gestion plus serrée des charges d'exploitation.
Suite à cette lecture, on comprend que la direction du monopole est plutôt encline à prendre les bonnes décisions lorsque c'est le patron qui parle.
Les personnes qui sont toujours prêtes à donner le Bon Dieu sans confession à la SAQ (vous les connaissez tout comme moi), ont dû tomber en bas de leurs chaises en apprenant que le message que la direction leur avait livré n'était pas exact, preuve que la naïveté se fait toujours rattraper par la réalité.
Dans le cadre de l'émission du midi du FM93 de Québec, animée par Jonathan Bernard et Yves-François Blanchette, j'ai donné une entrevue où je fais une rétrospective des faits survenus au cours des dernières années.
La bonne nouvelle est que cela va maintenant beaucoup mieux (pour les consommateurs) à la SAQ, mais il faut continuer à être vigilant.
Peut-on faire confiance à la SAQ? Bien sûr, mais il est tout de même préférable de toujours vérifier. Comme nos amis anglo-saxons le disent si bien: Trust but check!
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