C'est un peu le sujet de l'entretien que j'ai eu lundi le 28 mai vers 13h45, sur les ondes du 98,5FM, dans le cadre de l'émission animée par Bernard Drainville.
La veille, la SAQ avait haussé de 20 sous en moyenne, le prix d'environ 1,200 vins de son répertoire.
Ma réponse fut oui, en partie. Mais j'aurais cependant aimé avoir plus de temps que les 4 minutes qu'a duré cet entretien pour bien expliquer le fond de ma pensée. Faudra remettre ça, Bernard.

Moi aussi j'aimerais vivre dans un monde sans inflation et où jamais les prix n'augmentent, mais c'est bien sûr impossible.
En octroyant ces augmentations à ces fournisseurs, la SAQ hausse du même coup sa marge bénéficiaire, nous ne sommes pas dupes. C'est la stratégie qu'elle a utilisé pendant plusieurs années dans le passé pour hausser ses profits sans effort. Il est cependant trop tôt pour dire si c'est ici le cas.
Prêter des intentions et déjà crier au scandale est quelque peu prématuré.
Prêter des intentions et déjà crier au scandale est quelque peu prématuré.
Transparence dans la communication

Marc André Gagnon de vinquebec.com a démontré à quel point on pouvait avoir des doutes à ce sujet.
Restons vigilants!
Nous pourrons mieux juger des intentions du monopole dans un proche avenir. Si l'on se remet à augmenter le prix des vins de manière répétitive et démesurée sans justifications valables, nous saurons que l'on vient de retomber dans les bonnes vieilles et faciles habitudes qui lui ont valu tant de reproches de la part du gouvernement, de la vérificatrice générale, et des consommateurs.
Si cela ce produit, je serai alors l'un des tout premiers à tirer sur la sonnette d'alarme.
Aucun commentaire:
Publier un commentaire