Le 20 avril 2017, je publiais sur ce blogue ainsi que dans ma chronique du HuffPost Québec, le billet suivant:
Exactement une semaine plus tard, l'Institut Économique de Montréal (IEDM) faisait connaître par voie de communiqué les résultats d'un sondage réalisé par la firme Léger, démontrant qu'une bonne majorité de Québécois(e)s se souhaitent que le gouvernement libéralise le commerce du vin et de l'alcool au Québec.
En effet, selon le sondage :
Pour consulter la méthodologie et tous les autres résultats, cliquez ici.
L'IEDM publie dans la foulée sa proposition de libéralisation (voir ci-après). Le seul point où mon opinion diffère avec la leur, c'est lorsqu'ils suggèrent que les produits alcoolisés vendus hors SAQ ne soient pas l'objet d'une majoration (mais peut être ai-je mal compris leurs propos).
Tout comme l'économiste Paul Daniel Muller, je préconise d’ouvrir le marché aux cavistes et à la grande épicerie, mais en remplaçant la majoration par une taxe d’accise. Le but recherché est de stimuler la concurrence et l’innovation, comprimer les coûts d’achat et de distribution, mais sans diminuer les recettes de l’état.
En effet, selon le sondage :
- 71 % des Québécois se disent d'accord pour que des commerçants indépendants (p. ex. restaurateurs, cavistes) puissent importer librement les vins et les vendre directement aux consommateurs, sans être obligés de passer par la SAQ.
- 84 % se disent d'accord pour que les Québécois aient le droit d'acheter du vin au Canada, ou ailleurs, sans passer par la SAQ.
Pour consulter la méthodologie et tous les autres résultats, cliquez ici.
L'IEDM publie dans la foulée sa proposition de libéralisation (voir ci-après). Le seul point où mon opinion diffère avec la leur, c'est lorsqu'ils suggèrent que les produits alcoolisés vendus hors SAQ ne soient pas l'objet d'une majoration (mais peut être ai-je mal compris leurs propos).
Tout comme l'économiste Paul Daniel Muller, je préconise d’ouvrir le marché aux cavistes et à la grande épicerie, mais en remplaçant la majoration par une taxe d’accise. Le but recherché est de stimuler la concurrence et l’innovation, comprimer les coûts d’achat et de distribution, mais sans diminuer les recettes de l’état.
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