C'est le retour du balancier.
Après un quart de siècle où la grande influence du gourou américain Robert Parker s'est faite sentir (et bue!), alors que les producteurs élaboraient des cuvées très boisées afin de s'attirer ses bonnes grâces, on revient peu à peu vers de vins plus fruités, fins et élégants. On ne s'en plaindra pas.
L'illustration ci-dessous, œuvre de René Pétillon, décrit avec humour ce phénomène.
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