Voulant démontrer que le monopole de leur employeur avait de bons côtés pour la clientèle, le syndicat des employés ont peut être mis les pieds sur un terrain glissant en affirmant que plusieurs détaillants en Alberta, province où la vente de l'alcool et du vin est privatisée depuis vingt ans, donnait un service médiocre, puisqu'il sont pakistanais ou indiens, ne pouvant ainsi connaître quoi ce soit avec ces produits.
Je crois personnellement que l'on aurait pu se contenter de dire que les détaillants n'ont pas la même formation que les conseillers en vin du Québec, sans faire d'allusions ethniques.
Ce sont des ratés qui risquent de se produire quand on veut défendre à tout prix quelque chose qui comportent de graves lacunes (et celles-ci, je le répète, n'ont rien à voir avec les employés sur le plancher de ventes).
Voici un reportage de 2 minutes 28 secondes que le réseau CTV a mis en ondes le 5 novembre, d'un océan à l'autre, lors de son bulletin de nouvelles de 18H00.
Lien pour voir ce reportage:
Pour savoir ce que je pense en règle générale de la nécessité de privatiser demain matin la SAQ, suivez ce lien:
bit.ly/1x5DN4n
Ajout du 7 novembre 2014:
Selon ici.radio-canada.ca:
Commentaire: c'était, selon moi, la bonne chose à faire dans les circonstances.
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