La patience est une vertu mais qui a ses limites. Tel que rapporté par lapresse.ca sous la plume d' Étienne Fortin-Gauthier, les vignerons du Québec attendent toujours que les bottines du gouvernement du Québec suivent leurs babines.
Annoncer une politique de ''souveraineté alimentaire" est une chose, la mettre en pratique en est une autre. Il resterait encore loin de la coupe aux lèvres.
Exaspérés par le peu d'empressement témoigné par le gouvernement pour aider les vignerons du Québec à développer, pour le bien commun, leur industrie, le président de l'Association des Vignerons du Québec, Charles-Henri de Coussergues, songe à utiliser des coups d'éclats, même illégaux, pour faire connaître publiquement leur mécontentement.
À lire pour avoir un aperçu de ce que l'avenir pourrait bien nous réserver:
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